La définition de zones de sensibilité pour préserver les espèces du Parc national des Pyrénées


Le Parc national des Pyrénées abrite de nombreuses espèces animales. Au cours de leur vie, certaines espèces traversent des périodes plus sensibles que d'autres. Durant ces périodes clés, les dérangements / perturbations peuvent avoir de lourdes conséquences sur la conservation et le bien-être de ces espèces. Pour les préserver, mieux vaut donc respecter leur quiétude.

Dans l'optique de concilier les activités humaines et la préservation de ces espèces, différents dispositifs peuvent être mis en place. 

Qu'il s'agisse de « zones de quiétude », de « zone de sensibilité majeure », « d'itinéraires conseillés », de « zones d’hivernage », de « réserves permanentes ou temporaires » ou « d'enclos / exclos »…, chaque option envisageable répond à une logique de zones de sensibilité à définir, chacune adaptée à des objectifs de gestion bien spécifique.

Refuge hivernal pour la faune sauvage - C. BAPT - Parc national des Pyrénées

Panneau de signalisation d'une zone de quiétude - C. BAPT - Parc national des Pyrénées

Un moyen de concilier la préservation des espèces et les activités humaines.

Les dispositifs utilisés varient selon les espèces, les activités, les saisons et la période du cycle vital de l'espèce concernée. À l’heure actuelle, 4 de ces types de zones de sensibilité sont utilisées et mises en place sur le territoire du PNP.

Découvrez les différents types de zone de sensibilité déployées sur le territoire du Parc national des Pyrénées :